• Arya s'assit en sueur sur le sol. Elle avait beaucoup couru. Pourquoi ? A cause de ses cheveux doré, de ses yeux bleus et de ses oreilles pointus elle était exclue des autres enfants et parfois ils lui jetais des cailloux. Apparemment on l'avait recueilli à la naissance sur le pas d'une porte mais on n'avait jamais retrouvé sa mère. Elle avait seulement 7 ans et elle était déjà seule au monde. Sa mère adoptive avait été très aimante mais elle est morte il y a 3 jours. Arya a beaucoup pleuré. 
    La fillette a donc décidé de partir du village mais elle avait trop peur de partir seule. En plus elle avait beaucoup de souvenirs ici. Elle se mit à pleurer. La nuit commençait à tomber. Arya sécha ses larmes et ouvris la porte de la maison. Depuis la mort de sa mère elle habitait chez ses voisins mais ils l'ignoraient la plus part du temps. Elle ouvrit la trappe du grenier et se jeta sur son lit en pleurant. Elle s' endormis doucement, bercée par le hennissement des chevaux de l' écurie. 
    Arya se réveilla en entendant le son  d'une charette sur les pavés. Elle regarda par la fenêtre et aperçu un vieux monsieur en train de discuter avec le forgeron. Elle sauta du grenier au sol et descendit à toute vitesse les escaliers. Elle ouvrit la porte et se cogna à Grégoire, le voisin qui l'hébergeait. Elle baissa la tête et dis d'une voix tremblante 
    -Dé...  Désolé 
    Il grogna mais ne fit pas de commentaires et rentra dans la maison. Arya le regarda se diriger vers la cuisine puis sortit dehors. 
    Elle plissa les yeux en recherchant la charette puis, en la voyant fit un grand sourire et s'y précipita. Le vieil homme se retourna en souriant. Il pris la fillette dans se bras et la fit tournoyer dans les airs. Elle cria de joie et le sera dans ses bras. Il sourit puis repris un air sérieux. 
    -Comment vas-tu Arya ? J'ai appris pour ta mère je suis désolé... 
    Les larmes aux yeux, la petite fille secoua la tête. 
    -hm hm. Ça va. 
    Ulfric étais un marchand ambulant. Il allait de ville en ville pour vendre divers produits. Sa femme tenais un magasin dans la capitale; la Jument Pavoisée. 
    Arya était très contente de le revoir.  Surtout, elle voulait lui demander de l'emmener avec lui. Il n'y avait plus grand chose  qui la retenait ici. 
    -Dis...  Ulfriiiic est ce que je peux venir avec toi ? 
    -Bien sûr, ou veux tu aller? A l'auberge ? Chez le marchand de tissus  
    -Non ! Je veux partir avec toi et traverser le monde et vendre plein plein de trucs ! 
    Le visage du marchand se referma. 
    -Écoute Arya, c'est très dangereux. On peux être attaqué par des loups et la nuit il fait très noir. 
    La fillette fit la moue.
    -Mais ! Je veux venir ! J'en ai marre d'ici je veux plus être toute seule ! 
    Elle se mit à pleurer. 
    Le vieux marchand sourit tendrement. 
    -Arya, regarde moi. Tu ne peux pas venir car ça ne serait pas bon pour toi. Tu es encore une petite fille tu ne peux pas vivre en allant de ville en ville. 
    Tout en pleurnichant elle acquiesça. 
    Mais elle avait déjà pris sa décision. Elle viendrais coûte que coûte. Ulfric passa la journée à vendre ses produits. Il vendait toute sorte de chose; du sel, des armures, des tissus  et bien d'autres produits. Arya le suivi toute la journée. Elle le regarda proposer des échantillons et troquer quelques marchandises. Le soir venu. Ulfric annonça qu'il partirait le lendemain à l'aube. Il souhaita une bonne récolte aux villageois et serra la fillette dans ses bras. 
    -Grandis bien et sois heureuse petite princesse ! 
    Arya secoua la tête et souris 
    -Au revoir ! 
    Le marchand lui caressa les cheveux et alla demander une chambre à l'auberge. 
    La fillette rentra en trombe chez elle. Elle pris son panier mis toutes ses affaires dedans (c'est à dire pas grand chose).
    Arya attendis alors que Grégoire et sa femme se couchent. Lorsque elle les entendit ronfler elle attrapa sa cape et rabatti la capuche. Elle descendit l'escalier en silence et ouvrit la porte. 
    Une fois dehors, elle regarda à droite et à gauche, vérifia que personne ne pouvais la voir et se précipita à la charette. La fillette se glissa dedans silencieusement . Elle cacha le panier sous un sac de toile et se blottis derrière les sacs de farines.
    Puis épuisé d'avoir marché toute la journée, elle s'endormit.


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  • Elle courrait. Pour sa survie. Sans s'arrêter. Elle avait été touchée à l'épaule, et elle savait qu'elle ni survivrait pas. Mais elle devait la sauver. Elle aperçu enfin un village. À bout de force elle déposa tendrement le petit fardeau sur le pas d'une porte puis prononça ses derniers mots. 
    -Vie heureuse. 
    Elle se traina au sol jusqu'à la forêt puis à bout de force s'assit contre un arbre. 
    Et dans une nuit sans lune, sous un ciel étoilé elle s'éteignit.


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